Cette semaine, le Canada a annoncé qu'il participerait à la mission Ariel de l'Agence spatiale européenne. Première mission du genre, le télescope spatial Ariel sera lancé en 2029 pour étudier l'ٳDzè d'DZèٱ lointaines situées en dehors de notre système solaire. Jusqu'à 12 astronomes canadiens, y compris des experts mcgillois, seront aux premières loges de la mission et bénéficieront d'un accès privilégié à ses données.
Le long de la côte de Terre-Neuve-et-Labrador et de la dzܱ-ÉDz, on constate des changements préoccupants : des changements dans le courant du Labrador entraînent des hausses de température soudaines et des chutes de la teneur en dzⲵèԱ des eaux dans plusieurs zones marines, notamment le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent. Ces changements ont de graves conséquences sur les éDzès marins et sur la ê.
Il y a environ 250 millions d’années, l’extinction massive du Permien-Trias a entraîné la disparition de plus de 80 % des espèces de la èٱ. Selon les scientifiques, la vie sur Terre aurait été dominée par des espèces simples pendant les quelque 10 millions d’années qui ont suivi ce cataclysme, les éDzès complexes n’étant apparus que plus tard. Cette théorie de longue date est cependant remise en question par une équipe de recherche internationale, dont font partie des scientifiques de l’Université McGill et de l’Université du Québec à Montréal.
À quel moment le taux d’dzⲵèԱ sur Terre a-t-il été suffisant pour soutenir la vie animale? Des chercheurs de l’Université McGill ont découvert que l’augmentation du taux d’dzⲵèԱ concordait avec l’éDZܳپDz et l’expansion des éDzès complexes d’eucaryotes. Leur découverte constitue la preuve la plus solide à ce jour que les niveaux d’dzⲵèԱ extrêmement faibles ont grandement limité l’éDZܳپDz pendant des milliards d’années.
unEarth a créé une plateforme et un manuel de l'éducateur pour le . unEarth a lancé sa plateforme — conçue pour sensibiliser les jeunes à la ܰé au moyen de la pensée systémique environnementale — pendant la , en soulignant le système du Saint Laurent.
Les membres du groupe ont récemment publié un billet de blogue avec Cell Mentor, et un article dans Trends in Ecology.
La taille de la population maya qui habitait , cité des basses terres (située dans le Guatemala actuel), a varié au fil du temps en raison des changements climatiques. En effet, une étude dirigée par une équipe de l’Université McGill et publiée récemment dans a mis en lumière des déclins marqués de la population tant pendant les sécheresses que lors des périodes de grande humidité.
Le a été lancé le 30 juin 2021, et McGill Outreach y participe ! L'Archipel Virtuel est la première édition numérique du festival.
Le groupe SMORES (Students at McGill Outreach in Earth Sciences) a participé à la campagne de l'Odyssée des sciences 2021 en organisant une série d'ateliers en ligne d'une heure pour les enfants, qui ont captivé plus de 65 participants.
*En anglais seulement
S’il est une chose que la pandémie nous a montrée, c’est à quel point les tablettes des supermarchés pouvaient se vider rapidement. Il est toutefois difficile de déterminer à quel point le secteur de la production alimentaire serait vulnérable en cas de perturbations soudaines résultant, par exemple, d’événements extrêmes, tels qu’une guerre nucléaire ou de puissantes éruptions volcaniques.
Il va sans dire que les èٱs de lave comptent parmi les èٱs les plus inhospitalières découvertes au-delà des confins de notre système solaire. Ces boules incandescentes gravitent si près de leur étoile hôte que certaines de leurs régions sont probablement des océans de lave en fusion.
Cet été, le Fonds des projets de développement durable (SPF) de McGill a eu dix ans et a marqué l'occasion en donnant une aide financière au Musée Redpath, vieux de 130 ans. Merci à SPF d'avoir subventionné notre nouveau projet de sensibilisation pour créer un «Musée dans une boîte» et de nous avoir aidés à acheter du matériel photographique afin que nous puissions créer des visites virtuelles StoryMap telles que la tournée des arbres de McGill et la tournée des pierres et fossiles de McGill.
Selon une étude récente, l’activité volcanique est directement responsable des changements climatiques extrêmes de la fin du Trias, qui ont anéanti près de la moitié des espèces peuplant la Terre il y a 201 millions d’années. La quantité de dioxyde de carbone (CO2) relâchée dans l’ٳDzè lors de ces éruptions est comparable à la quantité de CO2 que devrait produire l’activité humaine pendant l’ensemble du xxie è.
Nous vous sommes très reconnaissants de vos dons lors du McGill 24 qui s'est tenu le 11 mars 2020.
Nous avons encore quelques semaines pour atteindre notre objectif au musée Redpath : Créer un kit pédagogique sur les fossiles et les dinosaures
Depuis un certain temps, des scientifiques étudient les effets de la pollution sur l’air, le sol et l’eau à proximité des sables bitumineux de l’Athabaska. Après avoir examiné les contaminants présents dans de la neige prélevée jusqu’à 25 km des sables bitumineux, une équipe de scientifiques dirigée par l’Université McGill avance maintenant que la pollution causée par les sables bitumineux a aussi une incidence sur les régimes climatiques des régions avoisinantes.