La numérisation de plus de 300 millions d’échantillons de plantes conservés dans des musées du monde entier pourrait fournir des renseignements précieux sur la préservation de la biodiversité à l’heure des changements climatiques. C’est ce que révèle une étude menée par des scientifiques de l’Université McGill.
Numériser un spécimen d’herbier consiste tout d’abord à consigner le nom et l’emplacement d’origine de l’espèce, puis de téléverser ces données dans un répertoire numérique accessible au public.