Notre façon de réagir à l’isolement social pourrait se refléter dans une « signature » cérébrale
La découverte pourrait mener à des traitements potentiels
MONTRÉAL (QUÉBEC) – Pfizer Canada fait un don de 600 000$ à l’Initiative interdisciplinaire en infection et immunité de McGill (MI4) par l’entremise de l’Université McGill et de la Fondation du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Annoncé aujourd’hui dans le cadre du deuxième Symposium scientifique annuel de MI4, le don vise à créer lesBourses de début de carrière en recherche Pfizerafin de soutenir l’innovation et les recherches au potentiel transformateur.
Les fonds seront investis dans les technologies d’imagerie, la formation et l’enseignement à l’Installation de bio-imagerie avancée de MGill
Par MaureenMcCarthy
Le docteur Rouleau a consacré sa vie à l’amélioration du diagnostic et du traitement des maladies et des troubles neurologiques.
L’Ordre du Canada, la plus haute distinction décernée à des membres de la société civile par le gouvernement du Canada, sera remis au docteur Guy Rouleau, le directeur du Neuro, pour sa contribution exceptionnelle au domaine de la recherche clinique en santé.
En modifiant la structure d’une protéine précise, il pourrait être possible de neutraliser le virus
Des chercheurs de l’Université McGill font partie d’une équipe internationale dirigée par l’Université de Buffalo ayant découvert une technique qui pourrait permettre d’augmenter l’efficacité des vaccins contre le SRAS-CoV-2, le virus responsable de la COVID-19. L’étude du groupe a récemment été publiée en ligne, dans la revue scientifique .
Une équipe de chercheurs et chercheuses de l’Université de Montréal, de l’Institut-hôpital neurologique de Montréal et de l’Université McGill ont obtenu une subvention majeure de plus de 12,5 M$ du Aligning Science Across Parkinson’s (ASAP) Initiative pour étudier la maladie de Parkinson au cours des trois prochaines années. La subvention sera gérée par la Fondation Michael J. Fox pour la recherche sur la maladie deParkinson.
Des scientifiques de McGill produisent le premier modèle de souris exprimant une mutation du récepteur des œstrogènes tôt dans son développement
Par Marie Moucarry
Les résultats pourraient favoriser la mise au point de thérapies au stade préclinique
Par Jason Clement
On sait depuis des décennies que la maladie d’Alzheimer (MA) atrophie des neurones et des synapses intervenant dans la mémoire, l’apprentissage et l’attention, un système qui dépend fortement d’une molécule appelée facteur de croissance nerveuse (NGF). La maladie cause une dysrégulation du métabolisme du NGF, entraînant la perte des synapses et des neurones qui en dépendent, comme des plantes privées de lumière.
Des scientifiques de l’Université McGill et de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, en collaboration avec le Centre StoP-AD (pourStudies on Prevention of Alzheimer’s Disease), ont publié un nouvel article dans lequi examine comment un facteur de risque génétique connu de la maladie d’Alzheimer (MA) à apparition tardive agit sur la mémoire et les fonctions cérébrales de personnes âgées sans atteinte cognitive, mais présentant des antécéde
Une étude met en évidence des cellules cancéreuses à division rapide qui réagissent aux nouveaux traitements
On a longtemps pensé que les cancers du cerveau résistaient aux traitements parce que chaque tumeur était formée de différents types de cellules. Or, une nouvelle étude a mis en évidence une hiérarchie cellulaire issue d’un seul type de cellule cancéreuse, qu’on pourrait cibler pour en ralentir la progression.
Les IRSC octroient 109 M$ pour atténuer les répercussions de la pandémie sur la prestation des soins, au Canada comme à l’étranger, et mieux comprendre la maladie
Par Gillian Woodford
Il décroche le Prix C. L. de Carvalho-Heineken pour ses travaux précurseurs en cognition musicale
Le neuroscientifique de la cognition Robert Zatorre s’est vu décerner le Prix C. L. de Carvalho-Heineken en sciences cognitives.
Remis tous les deux ans à cinq chercheurs, le Prix Heineken est considéré comme le prix scientifique international le plus prestigieux aux Pays-Bas et s’accompagne d’une bourse de 200 000 $US.
Ce prix récompense son travail collaboratif en neurosciences et en neuroinformatique.
Le neuroscientifique Alan Evans s’est vu décerner le prix Killam, l’un des plus prestigieux au Canada, pour ses nombreuses contributions à la compréhension du cerveau humain.
Alan Evans est chercheur de renommée internationale au Neuro (Institut et hôpital neurologiques de Montréal) et titulaire de la Chaire de neurologie et de neurochirurgie James McGill et de la Chaire Victor Dahdaleh en neurosciences.
Une collaboration entre l’Université McGill et l’Université de Gothenburg débouche sur un test peu coûteux qui pourrait révolutionner le diagnostic, l’étude et le traitement de la maladie
Par Gillian Woodford