㽶Ƶ

Imaginez pouvoir prendre des brins d’ADN – le matériau qui se trouve dans nos cellules et qui détermine notre apparence et notre fonctionnement – et les utiliser pour construire de minuscules structures capables d’acheminer des médicaments vers des endroits ciblés du corps ou d’élever la miniaturisation électronique à un tout autre niveau.

Classified as: ADN, Hanadi Sleiman, Nanotechnologie, ADN synthétique, Graham Hamblin, Janane Rahbani, nanoelectronique, nanooptique
Publié le: 6 mai 2015

Le groupe de recherche du professeur Tomislav ščć, du Département de chimie de l’Université McGill, s’est forgé une solide réputation dans le domaine peu connu, mais en pleine croissance, de la mécanochimie, où les transformations chimiques s’effectuent en concassant, broyant ou cisaillant des ingrédients à l’état solide – des techniques faisant appel à la force brute plutôt qu’à des agents liquides très recherchés. « Votre cafetière broie un produit, et le broyage de molécules dans un laboratoire repose sur un principe similaire », explique le professeur ščć. L’usage de la force mécanique présente également un important avantage, puisqu’il permet d’éviter le recours à des solvants en gros nocifs pour l’environnement.

Classified as: Recherche, ščć, chimie, Nouvelles de McGill, Katsenis, katsenite
Publié le: 23 mar 2015

Des chercheurs de l’Université McGill ont mis au point une nouvelle méthode abordable permettant de construire des nanotubes d’ADN à l’aide d’une matrice bloc sur bloc. Cette percée pourrait ouvrir la voie à la conception d’échafaudages à partir de brins d’ADN pouvant ensuite être appliqués à la création de dispositifs optiques et électroniques ou de systèmes intelligents de libération de médicaments.

Classified as: Recherche, ADN, Nouvelles de McGill, Amani Hariri, Gonzalo Cosa, Hanadi Sleiman, microscope à fluorescence, microscopie monomoléculaire, Nanotechnologie, nanotubes
Publié le: 23 fév 2015

Des chercheurs de l’Université McGill ont réussi à observer simultanément la réorganisation de la position des atomes et la distribution des électrons au cours de la transformation d’un « matériau intelligent », le dioxyde de vanadium (VO2) ‒ celui-ci passant d’un semi-conducteur à un métal –, au cours d’une période un trillion de fois plus courte qu’un clin d’œil.

Publié le: 27 oct 2014

Pages

Back to top