inserm /newsroom/fr/taxonomy/term/10136/all fr Prédire les comportements suicidaires chez les étudiants grâce à l’intelligence artificielle /newsroom/fr/channels/news/predire-les-comportements-suicidaires-chez-les-etudiants-grace-lintelligence-artificielle-332119 <p>Comment prédire le risque de suicide chez les étudiants, alors même que la pandémie de COVID-19 nuit à la santé mentale d’une importante partie de la population? Une étude menée par une équipe de chercheurs montréalais et français de l’Université McGill, l’Université de Montréal, l’INSERM et l’Université de Bordeaux révèle que l’estime de soi est l’un des principaux facteurs prédictifs du risque de suicide. Les chercheurs ont utilisé l’intelligence artificielle (IA) pour reconnaître les facteurs qui permettent de prédire avec exactitude les comportements suicidaires chez les étudiants.</p> Tue, 03 Aug 2021 21:45:56 +0000 shirley.cardenas@mcgill.ca 271648 at /newsroom La flore intestinale livre ses secrets pour développer de nouveaux traitements contre le diabète /newsroom/fr/channels/news/la-flore-intestinale-livre-ses-secrets-pour-developper-de-nouveaux-traitements-contre-le-diabete-320574 <p align="left">Un composé organique produit par la flore intestinale, le métabolite 4-Cresol, aurait des effets protecteurs contre le diabète de type 1 et de type 2, notamment en stimulant la croissance des cellules bêta du pancréas qui produisent l’insuline. C’est ce que montre une nouvelle étude publiée dans <a href="https://www.cell.com/cell-reports/pdf/S2211-1247(20)30091-7.pdf"><i>Cell Reports</i></a> par des chercheurs de l’Université McGill, l’Université de Kyoto et l’Iserm/Université de Paris.</p> Wed, 19 Feb 2020 19:06:36 +0000 justin.dupuis@mcgill.ca 199035 at /newsroom L’inactivation épigénétique d'un gène impliqué dans le métabolisme de la vitamine B12 jette un éclairage nouveau sur certaines maladies rares /newsroom/fr/channels/news/linactivation-epigenetique-dun-gene-implique-dans-le-metabolisme-de-la-vitamine-b12-jette-un-284319 <p>On pensait que des maladies rares à caractère héréditaire récessif ne s’exprimaient chez les enfants que si les deux parents étaient porteurs d’une mutation du gène responsable, mais une nouvelle étude renverse ce paradigme. En effet, une équipe de recherche internationale dirigée par des chercheurs de l’Université de Lorraine, en France, ainsi que de l’Université McGill et de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM), au Canada, ont découvert une nouvelle cause d’une forme de maladie rare connue sous le nom de <em>cblC</em>.</p> Tue, 30 Jan 2018 19:19:35 +0000 laurie.devine@mcgill.ca 32910 at /newsroom