Ď㽶ĘÓƵ

Nous avons déménagé

L'Institut du Cancer Rosalind et Morris Goodman est désormais situé sur

Ěý

Ěý

Le Centre de recherche sur le cancer Goodman devient un institut

Un pas en avant qui favorisera la collaboration entre diverses disciplines, afin de promouvoir l’innovation et l’interdisciplinarité dans la recherche sur le cancer

Depuis sa fondation en 1978 sous le nom de Centre du cancer de McGill, le Centre de recherche sur le cancer Goodman (CRCG) est une plaque tournante de la recherche sur le cancer pour toute la communauté mcgilloise. Le Centre est maintenant prêt à marquer un nouveau tournant dans son évolution, après avoir été autorisé par le Sénat de McGill à se convertir en institut universitaire en février 2020 puis, en mai 2021, à porter officiellement le nom d’Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman (ICG).

Une invitation Ă  faire bouger les choses

Le nouvel Institut appliquera une approche interdisciplinaire Ă  la recherche sur le cancer, en exploitant le pouvoir des mĂ©thodes de recherche fondamentale, translationnelle et clinique. En rĂ©unissant des chercheurs, des cliniciens, des enseignants, des Ă©łŮłÜ»ĺľ±˛ą˛ÔłŮ˛ő et des stagiaires post-doctorauxĚýen sciences biomĂ©dicales, physiques, sociales et informatiques, dont des experts de l’intelligence artificielle, il mettra en place une culture de crĂ©ativitĂ© et de collaboration. Une telle diffusion des idĂ©es, des donnĂ©es et des connaissances, sans Ă©gard aux frontières traditionnelles entre les disciplines, engendrera de nouvelles façons de penser, ce qui, comme cela s’est produit souvent, pourrait mener Ă  des percĂ©es majeures. Dans ce contexte interdisciplinaire, l’Institut instaurera une culture d’innovation qui favorisera l’entrepreneuriat et la collaboration entre les secteurs universitaire, clinique et privĂ©. Les donnĂ©es et les idĂ©es pourront ainsi circuler librement entre le laboratoire et la clinique, et vice-versa, ouvrant grand la porte Ă  une application des connaissances qui se traduira plus rapidement par des bienfaits concrets pour les patients atteints du cancer.

Ce mandat de l’ICG, axĂ© sur la collaboration et l’interdisciplinaritĂ©, portera non seulement sur la recherche, mais Ă©galement sur l’enseignement et la formation. En effet, des programmes d’études supĂ©rieures uniques qui sont en cours d’élaboration couvriront le spectre complet de la recherche sur le cancer et s’attaqueront aux problèmes les plus importants en recherche sur le cancer. L’ICG collabore dĂ©jĂ  avec des partenaires de la FacultĂ© de mĂ©decine et des sciences de la santĂ©, de la FacultĂ© des sciences et de la FacultĂ© de gĂ©nie pour bâtir ces programmes de formation Ă  la fine pointe. Cette initiative, menant d’abord Ă  la maĂ®trise mais conçue dans la perspective de crĂ©er un programme de doctorat interdisciplinaire, attirera des Ă©łŮłÜ»ĺľ±˛ą˛ÔłŮ˛ő aux parcours multiples, qui proviendront notamment de disciplines n’étant pas habituellement associĂ©es Ă  la recherche sur le cancer. L’ICG – et dans une plus large mesure, l’UniversitĂ© – pourra puiser dans un bassin diversifiĂ© de talents locaux, nationaux et internationaux et former la prochaine gĂ©nĂ©ration de leaders au sein d’un environnement enrichissant, oĂą tous dĂ©velopperont une solide expertise dans des domaines variĂ©s.

« L’engagement de longue date de McGill envers la recherche sur le cancer nous a permis d’attirer à Montréal certains des chercheurs les plus brillants et réputés de la planète », affirme Suzanne Fortier, principale et vice-chancelière de l’Université McGill. « Grâce au personnel exceptionnel et aux installations de calibre mondial de ce nouvel institut, nos chercheurs pourront collaborer autrement, faire de nouvelles découvertes et élaborer des traitements novateurs, en plus de mieux comprendre, prévenir et traiter le cancer, qui représente encore l’une des plus grandes menaces auxquelles l’humanité est confrontée. »

« La création de ce nouvel institut se veut une invitation à faire bouger les choses dans le milieu de la recherche sur le cancer. Il ouvrira la voie à des percées que nous n’avions encore jamais envisagées, déclare la Pre Morag Park, directrice de l’ICG. Nous sommes reconnaissants envers la famille Goodman, qui a contribué à faire de cet institut une réalité, ainsi qu’envers la persévérance des scientifiques de McGill. Nous sommes impatients de poursuivre notre mission, qui consiste à trouver des solutions pour combattre efficacement des cancers difficiles à traiter. »

Même si la prévention, le dépistage, le diagnostic et les traitements se sont améliorés au cours des dernières années, il reste encore beaucoup à faire pour alléger le fardeau du cancer et améliorer le pronostic des patients. Afin de répondre à des besoins cliniques encore non comblés, par exemple en trouvant des traitements contre les cancers métastatiques et résistants aux médicaments, il faut une approche holistique incorporant des technologies, des méthodes et des modes de pensée diversifiés. L’ICG se trouve donc dans une position idéale, au carrefour de l’innovation et de la potentialité.

Ce qu’en dit l’équipe de direction de l’Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman :

Ěý« La crĂ©ation de l’Institut reprĂ©sente un pas de gĂ©ant dans les travaux de nos chercheurs en recherche fondamentale, clinique et multidisciplinaire sur le cancer. L’ICG sera dĂ©sormais mieux positionnĂ© pour former les leaders de demain dans le domaine de la recherche sur le cancer. »

Pre Nicole Beauchemin

Professeure et conseillère principale en recherche

Ěý

Ěý“ĚýLe cancer n’est pas une seule maladie, mais bien tout un Ă©ventail de maladies humaines complexes. Nos espaces de recherche nous permettront de nous attaquer Ă  cette complexitĂ©, en provoquant des rencontres au cĹ“ur de toutes les sciences entourant l’oncologie. Notre approche intĂ©grĂ©e est très prometteuse, autant pour les Ă©łŮłÜ»ĺľ±˛ą˛ÔłŮ˛ő que pour les chercheurs chevronnĂ©s, et s’inscrit naturellement dans le parcours de notre communautĂ© oĂą la collaboration occupe depuis toujours une place centrale. »

Pr Thomas Duchaine

Directeur associé

Ěý

« L’Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman est ancrĂ© dans la gĂ©nĂ©rositĂ© de la famille Goodman et de ses nombreux autres donateurs, dans les innovations introduites par ses chercheurs de calibre mondial et dans le travail acharnĂ© de son personnel et de ses Ă©łŮłÜ»ĺľ±˛ą˛ÔłŮ˛ő aux cycles supĂ©rieurs et postdoctoraux. Je suis impatiente de continuer Ă  bâtir sur ces fondations et de poursuivre notre cheminement pour relever les dĂ©fis de notre Ă©poque. »

Trina Johnson, Ph. D.

Directrice adjointe

Ěý

« Jamais je n’aurais pu imaginer le parcours extraordinaire qui nous a amenés à former un institut. À nos débuts, nous étions simplement heureux d’avoir un laboratoire et aujourd’hui, l’Institut est florissant et doté des technologies les plus avant-gardistes. Nous devons ce succès remarquable aux formidables leaders qui se sont succédé au Centre au fil des ans – Abe Fuks, Michel Tremblay, Cliff Stanners, Nicole Beauchemin, Morag Park et tant d’autres. Je suis fier d’avoir apporté ma contribution. »

Dr Phil Gold

Premier directeur du Centre du cancer de McGill

Ěý

Ěý

Un œil tourné vers le passé

Les recherches de l’ICG sur la nature fondamentale du cancer remontent à 1965, année où le Dr Phil Gold et ses collègues de la Faculté de médecine ont découvert l’antigène carcinoembryonnaire (ACE), qui est aujourd’hui l’antigène le plus utilisé pour le diagnostic du cancer. Fondé en 1978, l’Institut – qui s’appelait alors Centre du cancer de McGill – a le mandat de mener des recherches inédites sur le cancer. En 1988, le Sénat a appuyé l’élargissement des travaux de recherche du Centre et a créé une chaire d’enseignement dirigée par le Dr Clifford P. Stanners. Sous la gouverne du Pr Michel L. Tremblay, nommé directeur en juillet 2000, l’Institut a doublé ses espaces de recherche et son effectif. En 2006, le Centre a obtenu une subvention de formation en recherche des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et du Fonds de recherche en santé du Québec (FRSQ) en appui à son programme de formation aux cycles supérieurs et postdoctorale en recherche sur le cancer, confirmant une fois de plus le succès de ses programmes de formation. En 2008, grâce à un don remarquable de Rosalind et de Morris Goodman, le Centre a pu ouvrir un nouveau pavillon de recherche sur le cancer dans le Complexe des sciences de la vie de McGill afin de développer encore davantage ses programmes de recherche et de formation. Encore aujourd’hui, le soutien de la famille Goodman rend possibles les activités de l’Institut.

Ěý

Pour de plus amples renseignements :

Marie Moucarry, conseillère en communications, Institut du cancer Rosalind et Morris Goodman, marie.moucarry2 [at] mcgill.ca

Ěý

Back to top