Jamie Lee and Isabelle Lam are two newly graduated Dietetics students from Ď㽶ĘÓƵ and the proud co-founders of .
Les changements climatiques ont une incidence sur l’agriculture, mais l’inverse est aussi vrai. "L’agriculture produit environ 10 % des émissions de gaz à effet de serre," signale Chandra Madramootoo, professeur au Département de génie des bioressources de l’Université McGill. "Cette contribution est certes moins importante que celle des secteurs de l’exploitation pétrolière et gazière et des transports, mais il est essentiel de bien comprendre d’où viennent ces gaz afin de pouvoir mieux les gérer."
…Speaking on the theme of the conference, titled:“Innovations in Food Science and Technology for Sustainable Economic Growth”, Director, Department of Bioresources Engineering, Ď㽶ĘÓƵ, Montreal, Canada, Prof. Michael Ngadi said Nigeria must be adequately prepared against any possible outbreak of food crisis through innovative and creative ideas.
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Ă€ 24Ěýans, Jessica St-Pierre est formelleĚý: «ĚýLe fait d’avoir grandi dans une ferme laitière m’a poussĂ©e Ă choisir l’agronomie comme domaine d’études. J’y ai dĂ©veloppĂ© une vĂ©ritable passion! Pour moi, le bien-ĂŞtre des vaches est une prioritĂ©.Ěý»Ěý
David Wees, Associate Director of the Farm Management and Technology Program and Faculty Lecturer, has published a new book on sweet potato production.
Runners, cyclists and walkers in a West Island suburb are now able to snack on the go — plucking fruit from trees, berries from bushes and herbs from the ground in what has been dubbed a "food forest."
The project also has an educational component because it involves students from Ď㽶ĘÓƵ at Macdonald Campus who are taking a landscape design course. The suburban municipality will encourage residents to take cuttings so they can grow edible plants of their own on.
La Belle Province peut également s'enorgueillir de disposer de nombreux centres de recherche, d'expertise et d'innovation spécialisés tels que le Cintech agroalimentaire, l'Institut de technologie des emballages et du génie alimentaire (ITEGA) ou encore le Consortium de Recherche et d'Innovation sur la Transformation Alimentaire de l'Université McGill [Professor Salwa Karboune], qui est une plateforme de collaboration entre les établissements de recherche et l'industrie de la transformation alimentaire.
Le locavorisme est une tendance lourde en alimentation. Tout juste derrière l’Université Guelph en Ontario et l’Université de Colombie-Britannique, l’Université McGill de Montréal fait partie d’un petit peloton en avance sur les autres universités canadiennes en matière de politique alimentaire. Voici une université qui a pris le virage local de façon organisée.
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Inspirés par leurs voisins qui obtiennent de bons rendements et des prix plus élevés avec leurs cultures sous régie biologique, plusieurs producteurs de Lanaudière convertissent un nombre impressionnant d’hectares de terres au bio (…) Le bio, plus rentable pour la relève : L’agriculteur Daniel Adam a décidé de convertir ses 420 hectares de grandes cultures au bio pour différentes raisons, dont la plus importante : ses enfants. Sa fille et ses deux garçons, tous trois diplômés en agronomie à l’Université McGill ou en voie de l’être, veulent prendre la relève de la ferme.
Que nous dit le Grand Nord sur notre climat, présent et passé? Isabelle Burgun s’entretient avec deux chercheurs : Marianne Falardeau-Côté, candidate au doctorat au département des sciences des ressources naturelles à l'Université McGill. Elle avait précédemment voyagé sur l’Amundsen dans le cadre de sa maîtrise.
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Chaque année, à la rentrée scolaire, David Wees propose un petit défi à ses étudiants inscrits au cours d’agriculture urbaine de l’Université McGill : calculer dans quelle mesure les terres agricoles de l’île de Montréal peuvent nourrir ses habitants. « En se basant sur une superficie de 2 000 hectares et sur un rendement moyen de 26 tonnes/hectare [de légumes cultivés au jardin], on obtient un résultat assez impressionnant : ces terres pourraient combler environ 15 % des besoins en légumes des Montréalais », explique l’agronome.
Every night, some 800 million people – one in nine people on earth – go to bed hungry. And projections suggest that unless creative solutions are found, the world will need to increase food production by an additional 50% in the next 30 years, when the planet’s population is expected to exceed 9 billion.
Depuis huit ans, l’agronome et professeure ValĂ©rie Gravel travaille «Ěýmain dans la mainĚý» avec des producteurs de fraises. Une collaboration qu’elle juge essentielle.
«ĚýCes agriculteurs me permettent d’installer des parcelles de recherche dans leurs champs et se chargent d’entretenir les plants et de prendre des donnĂ©es quotidiennement. Ils participent Ă mes recherches avec beaucoup d’enthousiasme et je les en remercie, car rien ne peut remplacer leur expertise sur le terrainĚý», explique MmeĚýGravel.Ěý
Plant sex relies on a combination of prodding and a lot of communication and guidance suggests a study published in the September 2018 issue of .
McGill Press Release
Selon une étude publiée dans le numéro de septembre2018 de la revue , la reproduction chez les plantes reposerait sur une poussée énergique et une bonne dose de communication.