±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 22 January 2007
Dans une étude publiée dans la revue Proceedings of the Royal Society B, un professeur de biologie à l’Université McGill, M. Louis Lefebvre, et un ex-stagiaire postdoctoral de McGill, M. Daniel Sol, concluent que, pour un oiseau, le fait de posséder un cerveau de plus forte taille par rapport à la taille de son corps améliore ses chances de survie. Selon M. Lefebvre, « c’est la première fois que l’on démontre l’avantage que représente un plus gros cerveau ».