Journal de Québec - Des réactions plus vives
La publicité négative fait suer et augmenter le rythme cardiaque de ceux qui la regardent. C'est le constat qu'a fait une équipe de trois chercheurs, soit Stuart Soroka de l'Université McGill, ainsi que Pénélope Daignault et Thierry Giasson de l'Université Laval.
La publicité négative fait suer et augmenter le rythme cardiaque de ceux qui la regardent. C'est le constat qu'a fait une équipe de trois chercheurs, soitStuart Soroka de l'Université McGill, ainsi que Pénélope Daignault et Thierry Giasson de l'Université Laval. Ces derniers ont réalisé une enquête durant la dernière campagne électorale fédérale de 2011, auprès d'une trentaine d'électeurs. Ils leur ont présenté différentes publicités négatives et positives des principaux partis politiques.
«On faisait venir les électeurs un à un dans un laboratoire, puis on les exposait à différentes publicités qui étaient diffusées durant la campagne électorale,» explique Mme Daignault, la chercheure principale de l'étude.