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Avelin Peguy Angos est doctorant au Département de démographie à l’Université de Montréal. Sa recherche porte sur l’accès aux services sociaux de base (en particulier l’éducation et la santé) en Afrique subsaharienne pour les populations vulnérables, notamment les enfants qui ne vivent pas avec leurs parents biologiques, les personnes handicapées et les personnes âgées.

Avelin a également travaillé dans l’administration publique au sein du ministère de l’Économie de son pays, le Cameroun. Cette expérience lui a permis d’être régulièrement engagé dans le suivi et l’évaluation des programmes de population, l’élaboration et la planification des politiques publiques, et la rédaction de documents de stratégie de développement.

Il estime que le programme de formation du CAnD3 est idéal pour approfondir ses connaissances en matière de vieillissement de la population et pour améliorer ses compétences en analyse de données et en méthodes informatiques appliquées à la démographie.

Tim Arthur est candidat au doctorat au Département de sociologie à la Florida State University. Sa recherche porte sur les inégalités, avant tout en lien avec les soins de santé et le racisme. Il a récemment étudié la façon dont la rhétorique des campagnes politiques peut avoir des incidences négatives sur les résultats à la naissance des bébés nés de mères appartenant à une minorité raciale. Il espère utiliser son programme de recherche pour proposer des solutions fondées sur des données probantes qui nous rapprochent d’une société plus équitable.Ìý

Bien qu’originaire de Chattanooga, TN, Tim réside actuellement à Gainesville, FL avec partenaire, chiens et chat.

Akwugo Balogun est doctorante au Département de sciences économiques à l’Université McMaster à Hamilton, Ontario. Elle s’intéresse à l’économie de la population, à l’économie de la santé, au vieillissement de la population et à l’économie du secteur public.

Avant de participer au programme, elle était comptable agréée et possédait une vaste expérience dans le domaine bancaire. Elle a été félicitée pour avoir encadré des équipes afin qu’elles réalisent des performances professionnelles exceptionnelles et a participé à plusieurs cours de leadership et de gestion, notamment à la London School of Bonds and Fixed Income Products from Euromoney.

Elle est titulaire d’une maîtrise avec distinction en économie internationale et politique publique de la Cardiff University, au Royaume-Uni, et d’une maîtrise en administration des affaires. Elle a reçu des prix Anderson Honours List pour excellence universitaire.

Elle se réjouit du programme de perfectionnement du CAnD3 2022-23 qui lui permettra d’acquérir des compétences étendues et d’être exposée à des recherches liées à la population et aux politiques.

Shayla Batty est candidate à la maitrise au Département de sociologie à l’Université de la Saskatchewan. Elle est diplômée du programme spécialisé en sociologie de l’Université de la Saskatchewan où elle a mené des recherches sur les politiques et les résultats des caméras portées par les policiers. Au cours de ses études supérieures, elle s’est intéressée à la démographie familiale sous la direction de la Pre Laura Wright.

Ayant grandi au sein d’une famille et d’une communauté agricole rurale, Shayla consacre son mémoire à la division sexuée du travail ménager non rémunéré dans les zones rurales et urbaines du Canada. Au-delà des études urbaines et rurales, ses recherches portent sur la formation des familles, les trajectoires de partenariat, la formation de l’identité et les inégalités sociales au Canada.Ìý

Shayla se réjouit d’entrer en contact avec des universitaires, des professionnels et des experts, et d’apprendre d’eux ainsi que d’autres jeunes chercheurs du programme de perfectionnement du CAnD3. Elle espère qu’en approfondissant ses connaissances sur la prise de »å鳦ision fondée sur les données et en développant ses compétences en matière de politique et de mobilisation des connaissances, elle pourra promouvoir des changements positifs dans le monde réel, que ce soit dans le monde universitaire ou dans l’industrie.

Amber Duynisveld est étudiante à la maîtrise à l’Université Mount St. Vincent (MSVU), en première année du Département d’études sur la famille et de gérontologie. Elle a un diplôme de MSVU avec une B. Sc. majeure combinée en mathématiques et gérontologie, avec distinction. Amber occupe un poste d’assistante à la recherche au Nova Scotia Centre on Aging, où elle participe à des projets axés sur le bien-être du personnel dans les établissements de soins de longue durée. Ses autres centres d’intérêt sont le vieillissement, le handicap mental et la qualité de vie.

Sa passion pour l’analyse des données ainsi que ses objectifs pour susciter un réel changement font de cette bourse du CAnD3 une occasion idéale et passionnante d’apprendre les processus nécessaires à l’utilisation de la recherche sur les populations pour influer sur les politiques. Elle espère acquérir des connaissances dans le domaine de l’analyse des données et des canaux de prise de »å鳦ision à partir des données qui peuvent transformer son travail futur en changement positif.

Shawna Hopper est doctorante de première année en gérontologie à l’Université Simon Fraser, sous la supervision du Pr Teddy Cosco. Ses recherches portent principalement sur le vieillissement, la santé mentale et la cognition. Son travail de doctorat, subventionné par une BESC D du CRSH, vise à examiner l’isolement social des personnes âgées et l’impact de la pandémie de COVID-19. Elle comprend l’importance de la recherche engagée par la communauté et travaille avec un comité consultatif de recherche sur les personnes âgées afin d’informer le développement, la faisabilité et la pertinence de son projet en ce qui concerne les personnes âgées.

Elle détient une M. Sc. en sciences de la santé de l’Université Brock. Son mémoire de maîtrise, subventionné par une BESC M du CRSH, examinait les corrélats biopsychosociaux du »å鳦lin cognitif subjectif (DCS) et les inquiétudes liées au DCS dans l’Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement.

En tant que chercheuse boursière du CAnD3, elle est impatiente d’approfondir sa compréhension des méthodes quantitatives, d’apprendre de nouvelles approches à la mobilisation des connaissances et de nouer des contacts avec d’autres stagiaires, des universitaires et des leaders de l’industrie.

Emna Ben Jelili est en première année d’un doctorat en santé publique à l’Université de Montréal, qui se penche sur les systèmes, les organisations et les politiques en matière de santé. Elle est également membre étudiante du Centre pour l’étude de la citoyenneté démocratique.

Au cours de ses études en sciences politiques, Emna a acquis les outils nécessaires pour analyser les politiques publiques et plus particulièrement les »å鳦isions des gouvernements de financer des investissements à long terme tels que la santé publique. En fait, son mémoire de maîtrise « L’investissement en santé publique dans les provinces canadiennes de 1975 à 2018 : Un désengagement à géométrie variable? » analyse les variations dans le financement de la santé publique au Canada.

Emna travaille actuellement sous la direction du Pr Olivier Jacques. Son domaine de recherche évalue les relations entre les politiques sociales et la santé des populations.

Emna a démontré sa connaissance des méthodes quantitatives tout au long de son expérience académique et professionnelle en tant qu’assistante de recherche. Elle souhaite approfondir et perfectionner ses compétences en matière de gestion et d’utilisation de données statistiques dans le cadre du programme du CAnD3, approfondir ses connaissances des méthodes statistiques dans le domaine de la science des données démographiques, établir des collaborations pancanadiennes et interdisciplinaires et transmettre les connaissances académiques à divers publics.

Lucy Kervin est en deuxième année d’un doctorat au Département de gérontologie à l’Université Simon Fraser. Elle étudie les inégalités en matière de santé et les disparités dans l’accès aux soins de santé et aux soins sociaux ainsi que la navigation dans les systèmes que connaissent les Canadiens âgés qui sont isolés et qui ne bénéficient pas d’un soutien informel ou familial. Elle s’intéresse notamment aux approches de la recherche sur les services de santé et de l’application des connaissances tenant compte de la contribution de parties intéressées, ainsi qu’aux interventions communautaires visant à lutter contre l’isolement social et physique des personnes âgées.

Lucy a travaillé à la coordination de la recherche au sein de l’autorité sanitaire de Fraser, en C.-B., et dans le cadre du projet Precision Mental Health du SFU Gerontology Research Centre. Lucy travaille depuis 2017 dans le domaine des soins directs et du soutien aux personnes âgées en situation sociale défavorisée.

Elle est enthousiaste à l’idée de travailler aux côtés de chercheurs interdisciplinaires, d’apprendre d’eux dans le cadre du programme du CAnD3 et d’améliorer sa capacité à appliquer les compétences et les connaissances acquises au cours de cette formation à des questions de recherche réelles et à des problématiques spécifiques. Les compétences que Lucy développera au cours du programme de formation du CAnD3 l’aideront à atteindre son objectif de travailler au sein d’une agence de gouvernance de la santé en lui permettant de comprendre comment mettre à profit les résultats de la recherche sur la santé des populations dans le cadre d’une pratique axée sur les données et d’un changement de politique.

Kamila Kolpashnikova est une sociologue de la famille et une boursière de recherches postdoctorales VISTA à l’Université York, Canada. Elle a un doctorat en sociologie de l’Université de la Colombie-Britannique et une maîtrise en informatique sociale (science des données sociales) de l’Université de Tokyo. Ses recherches portent principalement sur l’emploi du temps des personnes âgées, la répartition des tâches ménagères en fonction du sexe et les sociétés d’Amérique du Nord et d’Asie de l’Est. Son projet actuel explore la peur des chutes et ses effets sur la manière dont les personnes âgées organisent leurs activités quotidiennes, en mettant l’accent sur le travail domestique et les loisirs.

Kamila est une ancienne titulaire de la bourse Marie Skłodowska-Curie financée par l’UE à l’Université d’Oxford (2019-2022), une boursière Monbukagakusho du gouvernement japonais (2006-2011), une boursière de la Fondation Rotary au Japon (2004-2005), une titulaire d’une bourse Taiwan (2018), et une chercheuse invitée au Centre for Time Use Research (2015). Elle utilise les pronoms elle/la/ielle.

Alla Konnikov est une boursière postdoctorale au Département de sociologie, Université de l’Alberta. Sa recherche postdoctorale s’inscrit dans un grand projet interdisciplinaire, intitulé « BIAS Responsible AI for Labour Market Equality » qui réunit des spécialistes des sciences sociales et des statistiques computationnelles du Canada et du Royaume-Uni afin d’étudier le rôle de l’intelligence artificielle (IA) dans l’apparition de préjugés sexistes et ethniques sur le marché du travail.Ìý

Sa thèse de doctorat, à l’Université de Calgary, explore le mécanisme intersectionnel des statuts de genre, d’immigration et de minorité visible dans le façonnement des trajectoires de carrière des ingénieurs au Canada. Son programme de recherche s’appuie sur l’approche intersectionnelle et porte sur la manière dont les différentes formes de désavantages convergent pour façonner la structure des possibilités de réussite professionnelle. Elle s’intéresse en particulier à la transférabilité des compétences des immigrants sur les marchés professionnels et aux carrières des femmes dans les domaines dominés par les hommes. Son programme de recherche, diversifié sur le plan méthodologique, combine des méthodes quantitatives et qualitatives.

Alla est enthousiaste à propos du perfectionnement du CAnD3, car le programme recoupe fortement ses intérêts de recherche. Elle a hâte d’en savoir plus sur la perspective axée sur le parcours de vie et d’affiner ses compétences méthodologiques.

Trinity Lakin est candidate au doctorat au Département de sociologie à la Florida State University, avec une spécialisation en inégalités et justice sociale. Ses travaux de recherche portent sur les inégalités raciales et socio-économiques dans l’enseignement supérieur. Son mémoire de maîtrise a utilisé le cadre théorique des inégalités maintenues efficacement (efficiently maintained inequalities ou EMI) pour évaluer les disparités fondées sur la race et la classe sociale dans l’utilisation et les avantages des stratégies d’amélioration des admissions à l’université (préparation au SAT/ACT, cours AP/IB, et programmes de préparation à l’université). Elle prépare sa thèse de doctorat, qui s’appuie sur le principe de convergence des intérêts de la théorie critique des races (CRT) pour étudier les réponses institutionnelles à l’activisme antiraciste dans un établissement à prédominance blanche (PWI) du sud-est des États-Unis.

Trinity est ravie de se joindre à un réseau d’universitaires animés par des idées similaires et désireux de créer un changement social durable par des initiatives et des politiques publiques fondées sur la recherche. Dans le cadre du programme du CAnD3, elle espère perfectionner ses compétences en analyse et visualisation de données, nouer des relations avec d’anciens et d’actuels chercheurs boursiers et participer à des collaborations interdisciplinaires.

Maria Lima est une stagiaire postdoctorale au Lab BioNR du Département des sciences de la santé de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). Elle effectue de la recherche sur la mise en œuvre d’une évaluation fonctionnelle gérontologique et d’une intervention de prévention des chutes. Elle privilégie la collaboration entre projets qui établissent des liens multidisciplinaires, générant ainsi un impact positif sur la santé publique et la société.

Depuis qu’elle est à l’université, elle étudie la gérontologie et a développé des projets et des recherches sur le vieillissement, la fonctionnalité, la mobilité, l’espace vital, les chutes, la sarcopénie, la fragilité, les soins intégrés pour les personnes âgées et la marchabilité.Ìý

Maria sait travailler avec des équipes pluridisciplinaires et diverses, et son attitude est axée sur la planification, la détermination et la cohérence. En tant que boursière du CAnD3, elle s’attend à un apprentissage continu, à l’échange d’expériences et à être porteuse d’impact dans la société. Elle aimerait améliorer ses connaissances et ses compétences en analyse et visualisation des données afin de mieux éclairer les »å鳦ideurs. Elle estime aussi qu’une ville favorable aux enfants et aux personnes âgées peut convenir à tout un chacun.

Merita est doctorante en sociologie à l’Université Western Ontario. Ses recherches portent sur les disparités entre les sexes et l’élaboration de politiques en matière de santé et de bien-être au Canada et dans le monde.

Elle a plus de 10 ans d’expérience professionnelle en gestion, politique et développement international. Elle a géré des projets complexes avec l’USAID, le Conseil de l’Europe et l’Agence suisse de développement dans les domaines des droits de la personne, de l’égalité des sexes, de la violence fondée sur le sexe, de la primauté du droit et de la démocratisation.Ìý

En participant au programme de formation du CAnD3, elle espère améliorer ses compétences en recherche quantitative et acquérir les connaissances nécessaires pour réussir son doctorat et avoir un impact sur la recherche à l’intérieur et à l’extérieur du milieu universitaire. Elle se réjouit également d’entrer en contact avec des réseaux au sein des universités et des agences gouvernementales.

Sophie X. Liu est doctorante au Département de sociologie à l’Université de la Colombie-Britannique. Ses recherches portent sur les obstacles à l’intégration des minorités visibles en Amérique du Nord. Elle s’appuie sur l’analyse de données d’enquête ainsi que sur des méthodes expérimentales et archivistiques pour explorer les réponses juridiques, politiques et sociétales à l’immigration. En tant que chercheuse boursière du CAnD3, elle a hâte d’explorer comment tirer parti des méthodes computationnelles et de la science des données pour la recherche sur l’immigration axée sur les politiques et l’action.Ìý

Exaucé Ngadande est doctorant en démographie à l’Université de Montréal (UdeM). Il détient une maîtrise en démographie et un baccalauréat en sciences économiques. Ses recherches portent sur l’analyse des trajectoires matrimoniales des immigrants d’Afrique subsaharienne au Canada, à l’aide de l’apprentissage automatique. Il est adjoint à l’enseignement au Département de démographie de l’UdeM, de même qu’adjoint à la recherche au Département de sociologie de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Il est membre de l’Union internationale pour l’étude scientifique de la population (UIESP).

En tant que boursier du CAnD3 en 2022-2023, Exaucé souhaite se perfectionner sur des sujets émergents liés au phénomène du vieillissement de la population et à ses enjeux politiques et sociaux. Ce sera l’occasion pour lui d’en apprendre davantage sur les nouvelles méthodes d’analyse statistique en science des données démographiques et en sciences sociales démographiques computationnelles, mieux adaptées à l’exploration des mégadonnées qui sont de plus en plus disponibles grâce à la technologie numérique.

Saman Rais-Ghasem est en deuxième année à la maîtrise au Département de géographie de l’Université McGill. Elle a obtenu un baccalauréat en sciences de l’Université McMaster (2020). Ses recherches actuelles sont axées sur la question de l’accroissement des inégalités au Canada. Ses travaux s’appuient sur des études antérieures qui ont identifié l’innovation comme un moteur potentiel de l’inégalité des revenus et examinent le lien entre l’innovation et l’inégalité dans le contexte canadien. Ses travaux visent à éclairer l’élaboration des politiques en faveur d’une croissance économique inclusive en utilisant la construction de modèles et des analyses géospatiales. Ces travaux seront menés à l’aide de microdonnées issues du recensement canadien. En tant que boursière du CAnD3, elle espère élargir ses compétences en recherche quantitative et acquérir une expérience précieuse dans la transposition de la recherche universitaire vers un plus large public.Ìý

Sagi Ramaj est doctorante au Département de sociologie à l’Université de Toronto. Ses projets de recherche portent sur l’intégration des immigrés, le bien-être économique et les contextes résidentiels. Son travail de thèse porte sur la manière dont les caractéristiques du lieu de vie influent sur l’inégalité économique à l’intersection du statut d’immigré et de l’orientation sexuelle. Précédemment, son mémoire de maîtrise (à l’Université Western) examinait la manière dont les réseaux sociaux et l’attachement au quartier influent sur les inégalités de bien-être économique entre les immigrants issus de minorités sexuelles et les autres. Ses projets de recherche en collaboration ont porté sur les structures de familles immigrées et la migration interne (Canada), les effets divergents de l’expansion de l’éducation sur les résultats du marché du travail en fonction du sexe et du domaine d’étude (États-Unis, Royaume-Uni, Canada), les effets de la pauvreté des quartiers et de la contamination par le plomb sur le développement cognitif des enfants (États-Unis), les inégalités dans les vaccinations et les cas de COVID-19 (Toronto), et les inégalités raciales dans la vulnérabilité du logement (Canada). Elle est enthousiaste de participer au programme de formation du CAnD3, qui offre un apprentissage expérientiel dans les domaines de la science des données, de la programmation, de la politique et de la mobilisation des connaissances, ainsi que des possibilités d’apprentissage et de collaboration pluridisciplinaires.

Yue Teng est doctorante en sociologie à l’Université Western Ontario. Elle s’intéresse en particulier à la famille, au parcours de vie, au vieillissement de la population et à l’état de santé des personnes âgées. Yue détient un diplôme de maîtrise de l’Université York. Son mémoire adoptait une perspective de parcours de vie pour examiner le conflit travail-famille au sein de familles canadiennes, en mettant l’accent sur les parents célibataires, en particulier les mères célibataires ayant de jeunes enfants, ainsi que sur leurs stratégies d’adaptation et l’utilisation des politiques familiales. Comme chercheuse, elle s’intéresse aux méthodes quantitatives et a travaillé avec des données d’enquête telles que l’enquête longitudinale sur la santé et la retraite en Chine, la World Values Survey et l’enquête sociale générale au Canada. En participant au programme du CAnD3, elle espère améliorer ses compétences en matière de méthodes quantitatives et de statistiques pour analyser des problèmes sociaux liés au vieillissement de la population et aux changements familiaux dans le monde.

Christopher Yurris est étudiant inscrit à la maîtrise en sciences politiques à l’Université McGill, sous la direction de la Pre Christa Scholtz et du Pr Éric Bélanger. Il est aussi un étudiant membre d’une organisation partenaire du CAnD3, le Centre pour l’étude de la citoyenneté démocratique (CÉCD). Il s’intéresse à la politique canadienne, et plus particulièrement à la politique du nord du Canada, ainsi qu’aux méthodes de recherche quantitative. Pour son mémoire, il étudie le fonctionnement de l’avantage de la titularisation dans le système de gouvernement non partisan des Territoires du Nord-Ouest.

Christopher est bachelier en sciences politiques de l’Université St. Francis Xavier. Natif de Yellowknife, Territoires du Nord-Ouest, où il a grandi, il a travaillé, entre ses études, pour le gouvernement des Territoires du Nord-Ouest, notamment la Société d’habitation du Yukon et l’Assemblée législative des T.N.-O. Ces emplois l’ont amené à s’intéresser aux politiques publiques, et plus particulièrement aux politiques sociales.

Grâce au programme du CAnD3, il aimerait perfectionner ses connaissances et ses compétences en statistiques et en science des données. Chris espère aussi acquérir des compétences dans l’utilisation des données de recensement pour ses projets de recherche.

Nick Zambrotta est étudiant à la maîtrise à la Columbia University en première année du programme en méthodes quantitatives en sciences sociales (QMSS). Il a obtenu un baccalauréat spécialisé en psychologie de la Rutgers University en 2022, où il a étudié l’impact de la complexité cognitive sur les représentations cognitives et les préjugés à l’égard des membres d’un groupe minoritaire. Il s’intéresse aussi à l’évaluation morale incohérente des actions des membres d’un endogroupe et d’un exogroupe, au sexisme dans les STIM et aux exemples d’hégémonie dans les institutions sociales, économiques et politiques.

Nick a hâte de travailler avec les chercheurs boursiers et les partenaires du CAnD3Ìýet espère parfaire ses compétences en matière d’analyse quantitative et qualitative à l’échelle de la population. l se réjouit en outre de pouvoir contribuer à l’élaboration et à la mise en Å“uvre de diverses politiques publiques d’importance et efficaces.